NOM & PRENOM(S) : Bowen, Robyn Azzurrà. Pourquoi Robyn ? A vrai dire je n’en sais trop rien, ma mère dit que c’est la « faute » de mon père, mais moi je l’aime bien mon prénom. Il n’a rien de très original, mais il est différent. Quant à Azzurrà, c’est le prénom de ma grand-mère maternelle. Ma mère a tenu à me le faire porter comme un hommage à sa mère défunte. Pourquoi pas après tout, même si pour moi il ne signifie pas grand-chose finalement. Puis Bowen est mon nom marital et oui mon cœur est pris… SURNOM(S) : Je ne supporte pas les surnoms mielleux, alors au final je n’en ai jamais vraiment eu, à part dans la famille. Pour ce faire ma mère m’appelle « Azzur’ », mon père quant à lui m’a toujours appelé « princesse », je ne supporte pas ce surnom et je ne m’en suis jamais caché… et pourtant ! ÂGE : J’ai 26 ans, le cap des 25 est passé… et oui c’est bientôt la fin ! DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis née le 15 avril 1985, dans la campagne londonienne dans le Nord de l’Europe. Mais c’est en France que j’ai grandie, à Paris plus précisément. C’est surement de là que me vient l’amour pour la mode, j’aime cette ville et j’aime y retourner ! ORIGINE : Je suis officiellement Anglaise, mais Française de cœur. ETUDES OU PROFESSION : J’ai était mannequin durant de très longues années, ce métier m’a tellement passionné. Il y a peu j’ai passé les concours pour devenir institutrice, en effet, je ne supporte plus de devoir partir durant des semaines de chez moi pour des shooting. Mon couple finira par en pâtir. Alors entre mon amour pour Liam et celui pour mon métier le choix a était rapidement fait ! SITUATION : Je suis mariée depuis maintenant cinq ans et avec lui depuis environ dix ans. Rare pour un mannequin parait-il… et pourtant ! GROUPE :égive me your hand. AVATAR : La belle, la magnifique Ginta Lapina

Un peu de toi est entré en moi pour toujours et m'a contaminé comme un poison.

une saison : L'automne un plat : Le risotto un animal : Le chat une chanson : Almost Lover une couleur : Le blanc un livre : Je reviens te chercher un film : 21 grammes un endroit : Une plage un monstre : Sulli un oiseau : La colombe un des cinq éléments : Le feu une fleur : Un coquelicot un fruit : Une pêche

une planète : Mars un sentiment : L'amour un défaut : La nervosité une qualité : La générosité un art : La peinture une langue : Le français une fête : Noël une ville : New-York un jeu : Le Uno un chiffre : Le quatre un péché capital : La colère un parfum de glace : La vanille un verbe : Rêver

Amis du jour, Bonjour. Amis du soir, Bonsoir. Amis du sexe, Durex. Je me présente, je m'appelle marie mais on me connait plutôt sous le nom de cacahuète. Je suis âgé(e) de 21 ans et je viens de france. J'ai un emploi du temps très mitigé et je pourrais me connecter environ cinq jours sur sept. J'ai trouvé votre forum grâce un partenaire et je le trouve horrible, vraiment pas agréable à l'oeil pour ça que je suis là . Mon personnage est un scénario de Liam J. Bowen. J'ai lu le règlement en entier et pour le prouver : OK BY ANA . En m'inscrivant ici, je m'engage à être respectueux(se) envers les autres membres, à respecter le règlement et à être un minimum actif(ve). Pour finir, J'aime les carambar .

Citation :

- Tu te rends compte tout de même que tu es en train de te détruire pour quelque chose qui n'existe pas ?
- L'amour, ça n'existe pas ?
- L'amour, ça existe sûrement. Mais toi, tu adhères à cette théorie débile de l'âme sœur. Comme s'il existait une sorte d'emboitement parfait entre deux individus prédestinés à se rencontrer...
- Ah bon, c'est débile de croire qu'il existe peut-être quelqu'un capable de nous rendre heureux, quelqu'un avec qui on aurait envie de vieillir ?
- Bien sûr que non, mais toi, tu crois à autre chose : à cette idée qu'il n'y aurait sur cette Terre qu'une seule personne faite pour nous. Comme une sorte de part manquante originelle dont on aurait gardé la marque dans notre chair et dans notre âme.

« Pose ce bouquin Roby’ et aide moi à charger la voiture, on va rater notre avion. » Ma sœur me lance un regard lourd presque lasse comme-ci l’attente était interminable. Je referme mon livre arrêtant là ma citation, puis je lève les yeux vers elle en lui lançant d’un sourire presque moqueur « Tu ne trouves pas que cela aurait pu être l’un de nos dialogues ? Toi la vieille aigrie et moi la jeune fille naïve ? » Son paquet de cigarette termine sa chute sur mon bras. Léonore me regarde avec une moue que les plus grands acteurs lui envieraient, puis s’approche de moi pour me prendre le bras afin de nous diriger ensemble vers la maison familiale. Mes parents vivent dans la banlieue proche de Paris, il faut dire que mon père avec son statut de VRP, n’a fait que déménager un peu partout dans l’Union Européenne. Pour leur retraite mes parents ont choisi la France, ma mère l’avait tant aimée des années auparavant. Je pense qu’ils ont bien fait, ils ont l’air si heureux et apaisés ici… Après tout ce qu’ils ont pu vivre et traverser, je suis contente qu’ils aient trouvé un certain équilibre. J’espère pouvoir construire la même chose avec Liam. Mes parents ont plus de vingt-six ans de mariage jour et aujourd’hui et un amour encore sans faille.
J’entre dans le salon ma mère m’y attend les bras grands ouverts, prête à m’enlacer comme pour me retenir près d’elle un peu plus longtemps. La famille a toujours été sacrée à mes yeux. Il faut dire qu’ils sont mon pilier, lorsque j’en ai vraiment besoin c’est toujours près d’eux que je reviens. Je les ai un peu délaissés ses dernières années, il faut dire qu’entre mes voyages professionnels et le peu de temps que je pouvais passer avec Liam, il m’a toujours resté trop peu de temps pour venir leur rendre visite. Quant à eux ils ont plus en plus de mal à se déplacer, surtout mon père. Avec tous les déplacements qu’il a faits pour son métier, aujourd’hui partir de chez lui ne l’intéresse plus vraiment. Je le comprends, je commence à ressentir un peu la même chose… Malgré tout, j’ai la chance d’avoir ma sœur qui vie à quelques rues seulement de chez moi. Je ne sais pas ce que je ferais sans elle… On est tellement différente, mais pourtant tellement complémentaire en même temps. Il ne se passe pas une semaine sans que l’on se prenne une heure pour aller boire un café rien que toutes les deux. J’ai besoin d’elle, elle est mon tout, mon modèle… « Ce n’est pas bientôt fini ces étreintes larmoyantes ? C’est moi qui paie le taxi ! » Je la regarde un grand sourire aux lèvres avant de déposer un baiser sur le front de ma mère. En lui lançant dans un murmure « A bientôt… ». Je termine par dire au revoir à mon père, lui promettant de revenir dès que possible. Ma sœur me pousse presque dans le taxi, je me retourne comme une enfant, alors que la voiture se met en route, je fais signe à mes parents s’éloignant de plus en plus… « Au revoir… »

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« …Paris ». Je vois les yeux éclatant de ma sœur s’écarquiller en me regardant. Elle a l’air heureuse de quitter la France pour un pays qui nous est totalement inconnu, mais moi je n’en ai aucune envie. Je laisse derrière moi mon collège et mes amis pour être ce que je pense être une lubie de mon père... stupide boulot ! J’ai 14 ans et même si voyager ne m’a jamais dérangé, bien au contraire, ce qui résonne en moi comme un dernier voyage ne me plait pas du tout. « Cesse de faire cette tête ! » me lance ma mère d’un air irrité. J’aime la mode dans la tête tous mes plans d’avenir sont déjà tracés, je veux être styliste ou peut-être mannequin, mais quoi qu’il arrive cela passe par une école de mode à Paris. Où vais-je trouver ce genre d’école dans une campagne reculée de Glasgow, au fin-fond de l’Ecosse. « Je vais demander l’émancipation ! ». Mon père appui brusquement sur le frein, ma tête fait un va et vient d’une certaine violence. « Ca y est tu as les idées en place maintenant ? On peut reprendre la route ? » Je le regarde d’un air renfrogné dans le rétroviseur central, avant de croiser les bras et regarder les paysages défiler un part un à travers ma vitre. Le voyage va être long…

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« Roby, je te parle ! ». Léonore me pousse légèrement le bras me sortant par la même occasion de mes songes. « Tu m’as même pas écouté… » . Elle me regarde d’une moue lasse et pleine de reproche. J’hausse les épaules pour lui faire comprendre qu’elle n’avait pas tort avant de détourner le regard vers l’extérieur. D’une moue hautaine ma sœur allume une cigarette avant de me souffler la première bouffée sur le visage. Dieu que je déteste ça et le pire dans tout cela c’est qu’elle le sait très bien. « A quoi tu penses ? ». Je lève alors les yeux vers elle, ventilant l’air d’un geste négligeant. « A un moyen de vous jeter rapidement hors de la voiture, toi et ton futur cancer des poumons ! » Je lui désigne du bout des doigts sa cigarette avant d’ouvrir la vitre. A plein poumon j’aspire une grande bouffée d’air pollué par les pots d’échappement des voitures qui nous précèdent, j’aurais peut-être mieux fait de m’abstenir. L’air pur de Glasgow me manque finalement ! « Garçon ou fille ?... C’est bien à ça que tu pensais non ?! » Un sourire à la fois mesquin et enjôleur prend place sur le doux visage de mon aînée. Je la regarde d’un air sceptique avant de lui lançait d’un ton lasse « La ferme Léo’ ! ». Son air renfrogné me dévisage « C’est quoi ton problème ? Tu as un homme avec qui tu es depuis maintenant quoi ?... 10 ans. Tu l’aimes plus que tu n’as jamais aimé et tu n’aimeras jamais et lui t’aime au point de te demander d’avoir un enfant avec lui. Il te faut quoi de plus ? Les femmes du monde entier aimerais être à ta place Roby’ ! ». Je sais qu’elle n’a pas tort, son discours est totalement fondé, Liam aussi a de très bons arguments, mais ce n’est pas si simple que ça… « Ce n’est pas le moment ! » « Une phrase de plus de cinq mots te tuerai ? » Je lui lance un regard noir, elle ne comprend rien de toute façon ! « Toi tu es célibataire, un enfant n’est même pas envisageable dans ta vie faite de plaisir alors pourquoi tu viens me donner des leçons de moral ? » Elle me regarde d’un air méprisant comme si j’avais touché un point sensible. Je sais que ce n’est pas très fin de ma part, mais c’est elle qui l’a cherché. « Moi je n’ai pas peur d’abîmer mon beau petit corps pour avoir un enfant afin d’être encore plus heureuse ! » Je reste perplexe devant sa réponse il est vrai que je me suis toujours caché derrière cette excuse. Il faut dire qu’elle est facile pour un mannequin, plus facile que d’avouer la vérité en tout cas. Alors que son regard noir reste posé sur moi, je sens la colère me gagner. Il faut dire que le sujet reste délicat en ce qui me concerne, car je connais les attentes de mon mari et je sais que je finirai par le perdre à force de lui refuser ce qu’il désire. Alors que ma sœur continue de porter sur moi son regard lourd je poursuis seule ma rhétorique. « A quoi ça sert d’avoir un enfant si on n’a pas les épaules pour en assumer l’éducation ? Tu dois savoir me répondre à cette question toi qui a réponse à tout ! J’aime Liam par-dessus tout en effet, mais un enfant c’est trop de responsabilité et même-ci lui serait un père formidable, je serais une bien piètre mère ! Alors non je ne veux pas d’enfant parce-que je ne veux pas prendre le risque qu’il ne soit pas heureux par ma faute. A chacun sa vie Léonore… Tu n’as pas le droit de me juger sur ce point, puisque tu ne sais pas toi-même ce que c’est ! ». Son regard se détourne vers l’extérieur, elle lance d’une voix cassée « Et toi tu n’es pas… » « Orly… Nous sommes arrivés ! » Du siège avant le conducteur nous lance un bref regard dans le rétroviseur. « Discussion close ! ». Je descends la première de la voiture, laissant à ma sœur le soin de régler les formalités avec le chauffeur. L’air extérieur est frai et la première bouffée me brûle les poumons, je resserre à nouveau mon écharpe autour de mon cou afin d’éviter d’attraper trop froid. Au loin un avion vient de prendre son envol, il me tarde d’être dans l’un de ses monstres de fer, mon mari me manque j’ai plus que tout envie de le retrouver. Puis cette dernière discussion m’a pas mal retourné, bien qu’elle ne me fasse pas changer pour autant d’avis.

Une heure et demie plus tard nous sommes dans l’avion. On ne sait plus adressé la parole à part pour des banalités d’usages. J’ai était dur avec elle et je m’en veux, mais elle savait qu’elle marchait sur des œufs en commençant sur ce sujet. L’avion a à présent décollé, l’hôtesse de l’air nous indique la procédure à suivre en cas d’incident. Je l’écoute d’une oreille distraite préférant regarder la terre disparaître peu à peu, perdue dans mes songes. Je sens le regard de mon aînée se poser sur moi et sa main chercher la mienne. « On vient de tuer un ours polaire… ». Un ricanement amusé s’échappe de ses lèvres. « Rigole pas c’est vrai ! A chaque fois qu’un avion décolle un ours polaire meurt… c’est un scientifique qui l’a dit ! ». J’hausse les épaules en signe de dépit alors qu’elle garde sur son visage ce sourire éclatant. « Toutes ses associations te montent à la tête Roby’ ! Tu es bizarre mais c’est comme ça que l’on t’aime ! » après un bref clin d’œil en ma direction, elle ferme les yeux. Je pose ma tête contre le hublot, le monde est tellement plus beau vu d’en haut… mes yeux se ferment à leur tour doucement. Dans deux heures à peine je serais dans les bras de l’homme que j’aime…