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Miles Willow Callaghan

NOM & PRENOM(S) : Miles Willow Callaghan. SURNOM(S) : Mimi. ÂGE : 19 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : dix neuf mars 1992 à Glasgow. ORIGINE : écossaise et irlandaise. ETUDES OU PROFESSION : étudiante en médecine la journée et prostituée le soir. SITUATION : célibataire. GROUPE : I Need Your Help. AVATAR : Emma Roberts.

« Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur. »

•• quel est ton point de vue sur les mouvements humanitaires qui se pratiquent abondamment à Glasgow ?

Je ne suis pas contre mais je ne suis pas pour non plus. En fait je pense qu'il y a pas mal d'abus quelque fois ce qui rend la cause un peu moins noble. Cela dit je ne critique pas les gens qui s'occupe et participe à ce genre de mouvements, au fond je crois même que je les admire ! La générosité c'est quelque chose de très important pour moi et je pense que ces personnes sont la définition même de ce mot. La générosité ce n'est pas que donner de l'argent à une association caritative sans chercher à faire plus, selon moi la générosité c'est surtout savoir donner de son temps pour s'occuper des personnes qui en ont réellement besoin.

•• es-tu membre d'une ou plusieurs associations ? si non, pourquoi ? si oui, laquelle ou lesquelles et pourquoi y es-tu ?

Je n'appartiens à aucune association, du moins pour le moment. C'est pas que je m'y intéresse pas, dans le fond moi aussi j'aimerais bien aider les autres et être vu comme un figure de bonté, mais je crois que ma vie représente déjà un assez gros bordel comme ça. Avant de m'occuper des autres, je préfère remettre de l'ordre dans ma propre existence. C'est assez paradoxal pour moi de dire cela étant donné que la plupart du temps je fais passer les autres avant moi mais bien souvent c'est juste pour me voiler la face et essayer d'oublier les taches noire qui abime ma propre vie.

•• t'arrive-t-il de penser au réchauffement climatique ? quels moyens prends-tu pour préserver notre planète ?

Bien sûr que j'y pense mais en même temps on nous parle que de ça depuis des années, ça s'arrête jamais ! Alors oui c'est inquiétant mais après je pense qu'il est un peu trop tard pour qu'on puisse arranger les choses. Le mal est fait comme on dit et notre planète a déjà bien assez souffert. Le tri, la consommation d'eau et tout ces petits geste j'y fais attention mais ce n'est pas non plus ce qui me préoccupe le plus je dois l'avouer. J'ai d'autre problèmes un peu plus grave - selon moi - à régler dans ma vie.

•• que penses-tu de la pollution ? que fais-tu pour lutter contre ?

La pollution c'est un fléau qui touche le monde entier mais c'est pas nouveau et je pense qu'il est un peu trop tard pour faire quoi que se soit malheureusement. On a toujours le droit aux même discours qui vous pousse à faire des petits gestes mais franchement c'est comme pour le reste, ce sont pas mes gestes qui vont changer quoi que se soit.. demander à toutes ses usines de plus rejeter leur produits n'importe où et ça ira déjà mieux ! Non parce que moi ça me dérange pas de prendre les transports en commun et tout ça.. mais franchement même si toute la population de cette ville faisait la même chose, on en reviendrait toujours au même point.

•• tu marches dans les rues de la ville avec une bande d'amis, un mendiant, assis contre le mur, te demande une petite pièce, comment réagis-tu ?

Je sais ce que c'est de galérer avec l'argent. Je sais ce que c'est de se retrouver à la rue et de déprimer en voyant que personne ne fait attention à vous alors que pourtant vous êtes dans un désarroi réel. Je ne peux donc pas m’empêcher de donner un petit truc.. alors c'est vrai que ce n'est jamais une grosse sommes, parfois c'est même assez ridicule mais je me sens presque obligé.. Et puis je sais que rien qu'un sourire et une petite pièce ça peut faire le plus grand bien dans ce genre de situation.

✿ ET SI J'ETAIS...

une saison : L'hiver.
un plat : Une pizza.
un animal : Un tigre.
une chanson : Maybe Tomorrow, Stereophonics.
une couleur : Le violet.
un livre : Jane Eyre de Charlotte Brontë.
un film : The Kid.
un endroit : La montagne.
un monstre : Le cerbère.
un oiseau : Un perroquet.
un des cinq éléments : Le feu.
une fleur : Un coquelicot.
un fruit : La framboise.

une planète : Jupiter.
un sentiment : L'amour.
un défaut : La jalousie.
une qualité : La générosité.
un art : La musique.
une langue : L'espagnol.
une fête : Noël.
une ville : Paris.
un jeu : Cluedo.
un chiffre : 3.
un péché capital : L'envie.
un parfum de glace : Fraise.
un verbe : Donner.

Amis du jour, Bonjour. Amis du soir, Bonsoir. Amis du sexe, Durex. Je me présente, je m'appelle Camille mais on me connait plutôt sous le nom de humdrum. Je suis âgé(e) de 17 ans ans et je viens de France. J'ai un emploi du temps très mitigé et je pourrais me connecter environ quatre jours sur sept. J'ai trouvé votre forum grâce à Bazzart et je le trouve magnifique . Mon personnage est un scénario de P. Sacha Whitmore. J'ai lu le règlement en entier et pour le prouver : OK BY ELENA. En m'inscrivant ici, je m'engage à être respectueux(se) envers les autres membres, à respecter le règlement et à être un minimum actif(ve). Pour finir, quand y'en a marre, y'a malabar !.

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" Dans le désarroi du chagrin, il est vain de chercher une réponse à ses questions. "

Je n'arrivais plus à respirer, mon souffle avait été coupé au moment ou son poing avait de nouveau touché mon visage. Ce n'était pas la première fois et pourtant comme toujours il y avait en moi cet effet de surprise. Peut être qu'au fond j'étais encore capable de penser que cette blessure que mon père me faisait était la dernière. J'étais naïve et ne voyait que la bonté dans les gens, c'est ce que mon frère William me disait toujours. D'ailleurs j'entendais ses pas se rapprocher de plus en plus de moi qui était assise par terre et recroqueviller sur moi même, comme pour me protéger d'un autre assaut de la part de mon paternel. Avec lui, on ne savait jamais ce qui pouvait se passer. La porte s'ouvrit, mes larmes coulaient toujours sur mes joues elles avaient même redoubler depuis quelques secondes. « Merde Miles qu'est ce qui s'est passé ? » William accourut vers moi, s'agenouillant pour être à ma hauteur. Je ne lui répondit pas. De toute façon sa question était complètement stupide. « Miles... » Sa main releva mon visage doucement, visage que je cachais comme toujours quand il gardait les traces d'une altercation avec mon père. Me cacher c'était devenue mon quotidien. Je me cachais de mes amis, des voisins et souvent de mon père aussi.. Mon grand frère était le seul à qui je laissais le droit de voir les marques sur mon corps. « Il a recommencé.. » réussis-je a sortir entre deux sanglot. « T'étais où.. ? » J'aurais voulu que mon ton soit plus menaçant, plus autoritaire mais je n'avais plus la force. Une grimace apparut sur le visage de mon frère avant qu'il ne me prenne dans ses bras, les seuls qui pouvaient me réconforter et me faire me sentir en sécurité. « Excuse moi.. J'avais... J'avais un tas de truc à faire. » Je resserrais mon étreinte, j'avais si peur qu'il parte de nouveau me laissant seule avec ce monstre. C'était peut être égoïste car après tout en sortant ainsi il ne faisait que fuir le mal que lui faisait notre père, dans un sens il avait raison. William avait seize ans et beaucoup plus de liberté que moi à peine âgé de douze ans. Il fuyait les coups et moi je recevait à sa place. Est ce que je lui en voulais ? Dans le fond oui. Je lui en ai toujours voulu de ne pas m'avoir assez protéger. Bien sûr des fois il se mettait entre mon père et moi mais jamais il n'est aller assez loin, du moins selon moi. « Viens avec moi, je vais nettoyer tout ça.. » Il tira sur a ma main pour me faire me lever et je m'exécutait, passant la main sur mes joues pour tenter de sécher mes quelques larmes. Pour ce qui était de me soigner et de me réconforter William c'était le meilleur, il était le seul à me faire retrouver le sourire et c'était d'ailleurs pour ça que je ne lui en voulais jamais très longtemps de m'avoir abandonner. « Promets moi qu'un jour tu m'emmènera loin d'ici.. » Il ne répondit pas tout de suite, nettoyant ma nouvelle plaie il n'osa même pas me regarder. Tout ce que j'attendais c'était une réponse de sa part. Il était plus vieux, il était censé être là pour me protéger et même si il le faisait pas tout les jours je voulais qu'à un moment il m'arrache à cette vie horrible pour m'offrir quelque chose de nouveau, un monde que je ne n'avais jamais réellement connu et qui me semblait beaucoup plus attrayante pourtant. Je voyais un avenir au côtés de mon frère, juste lui et moi.. sans dispute, sans bagarre, sans coups, sans bleus et sang.. En fait je voulais juste vivre ce qu'une fille de mon âge aurait du vivre. « Je te promets.. » Un léger sourire apparut sur son visage. Je le sentais hésitant et pourtant je me suis jeté dans ses bras encore une fois, soulagée. Il me promettais une vie nouvelle et je ne pouvais que le croire, j'en rêvais de ce changement et peut être que j'ai eu tendance à prendre mes rêves pour des réalités.

" Quand le destin se mêle du sort des hommes, il ne connaît ni pitié, ni justice. "

Assise sur l'un des sièges dans le couloir de l'hôpital, je sentais mes yeux se fermer doucement. La tête appuyé contre le mur derrière moi, j'étais à deux doigts de tomber dans les bras de Morphée. Mes nuit précédentes avaient été courtes, en fait depuis que William avait décidé de quitter la maison, seul bien sûr, j'étais toujours à l'affut du moindre bruit, c'était encore pire qu'auparavant parce que je savais maintenant il n'y avait plus personne pour me protéger des coups de mon père si ce n'est moi et ma force de fourmis. « Mademoiselle Callaghan ? » Je redressais immédiatement la tête à l'entente de mon nom. Le médecin avait cet air inquiet comme on le voit dans les séries. Voyant mon air un peu endormis il prit place à côtés de moi. « Je suis désolé mademoiselle mais.. nous n'avons rien pu faire pour votre père.. » Il devait s'attendre à ce que je fonde en larme dans ses bras mais je restai de marbre face à lui comme si ce qu'il venait de dire ne me touchais pas.. et je dois dire que c'était un peu le cas. Mon père.. enfin si je peux dire ça, je ne l'avais jamais aimer. C'est terrible de dire ça et c'est encore plus horrible de ressentir une certaine joie en apprenant le décès de son géniteur mais franchement je voyais là une sorte de délivrance, une délivrance que j'attendais depuis trop longtemps. « Vous vous sentez bien.. ? Vous voulez que j'appelle votre mère ou.. » Je relevai la tête vers lui avant de hausser les épaules « Elle est morte quand j'étais petite.. mais vous inquiétez pas ça va aller. » Je lui adressais un léger sourire comme pour le rassurer. C'était assez amusant de voir les rôles s'inverser de cette manière, d'ailleurs je voyais bien l'incompréhension dans son regard. Après un tas de question de sa part et surtout après qu'il se soit rendu compte que j'étais pas encore majeur puisque je n'avais que dix sept ans, il me proposa d'aller voir une assistance sociale, mais aussi un psy' et bref tout ces gens qui seraient censé m'aider. J'avais appris à me débrouiller seul depuis que William m'avait lâcher et ce petit goût de liberté je voulais pouvoir en profiter un peu moi aussi. La mort de mon père marquait le début de ma nouvelle vie, de cette libération tant attendu. Je pouvais tirer un trait sur la violence que j'avais connu jusqu'à maintenant et j'allais enfin pouvoir vivre la vie d'une fille de mon âge. Je n'aurais plus à vivre dans la crainte et en cachant toutes les marques sur mon corps. En fait, rien que le fait de pouvoir sortir sans porter des gros pull ou des long tee shirt me rendait la plus heureuse des filles ! Et tout ça, toute cette liberté, personne ne pourrait m'en priver et surtout pas une assistance sociale qui allait directement me placer dans une famille d’accueil ou dans un foyer. Ce n'était pas fait pour moi. « William, c'est Miles.. J'espère que tu vas bien.. Je t'appelais juste pour te dire que .. papa est mort et.. enfin j'espère que tu vas revenir bientôt. Tu me manques Will'. » Je raccrochais le téléphone, toujours ce sourire bête affiché sur le visage. William allait revenir et j'en étais persuader, on allait vivre cette vie heureuse dont j'avais rêvé tant de fois. C'est ce qu'on méritait.
Il est jamais revenue, il m'avait abandonné et même si j'ai eu du mal à le comprendre j'ai du l'accepter. Ma vie sans mon père n'était pas si parfaite que ça en fin de compte. Rapidement on est venu me chercher pour me ramener dans un foyer pour les jeunes dans mon genre mais bien sûr j'ai vité filé pour pas me retrouver enfermer dans ce genre d'endroit ou on trouve de tout et n'importe quoi. Et puis j'avais pas besoin d'aide, j'étais persuader que je pourrais me débrouiller seule dans cette ville ; On est à Glasgow après tout, c'est loin d'être aussi dangereux que New York

" Du chaos naît une étoile "

Le dégoût, voila ce que m'inspirait cette activité horrible que j'étais pourtant obliger de faire depuis trop longtemps selon moi. Me vendre, vendre mon corps.. jamais j'avais pensé en arriver là un jour et pourtant c'était arrivé très rapidement et sans que je puisse faire quoi que se soit pour y échapper. Vivre dans la rue pour fuir le foyer ne m'avait pas plu et m'avait amener à des moments trop difficile à supporter. Une fille de tout juste dix huit ans qui vit dans la rue, même quand on est à Glasgow ça se repère assez facilement. Je suis resté trois mois presque entier à flâner dans les rues de la ville jusqu'au jour ou tout à dérapé, jusqu'au jour ou cet homme ivre m'a plaqué contre un mur avant de me frapper pour étouffer mes cries.. jusqu'au jour ou cet homme m'a violé. Je pensais que ma vie ne pouvait pas être pire, et bien je m'étais trompé.
« Comment va ma blondinette préféré ? » Je sortis de mes pensées et tourna la tête vers Mark, cet homme qui me répugnait plus que tout et avec lequel je devais pourtant faire des affaires. Dès qu'il me touchait je n'avais qu'une envie, lui mettre ma main sur la figure mais à chaque fois je devais me contenir je savais de quoi il était capable. Je lui adressais un léger sourire avant de reporter mon attention sur le verre devant moi. C'est lui qui m'avait introduit dans ce milieu pourrie, c'est à cause de lui que j'en étais là aujourd'hui. Il était apparut comme un ange dans ma vie en m'aidant à trouver un petit logement et on me permettant de reprendre mes études que j'avais mise de côtés depuis quelque temps. Il était arrivé dans ma vie quand j'étais au plus bas et maintenant qu'il m'avait prêter tout cet argent il voulait que je lui rende, il voulait une compensation ; Quand ce n'était pas lui qui me demandait un petit moment d'affection je devais faire ça avec d'autres, avec ces hommes dégueulasses qui étaient devenue au fur et à mesure mes "clients". Sa main glissa sur ma jambe avant de remonter doucement. Mes yeux se fermèrent instinctivement. Je ne supportais vraiment pas qu'il me touche mais le pire dans cette histoire c'est que je ne pouvais absolument rien dire. Je relevais la tête sans rien dire, avala une gorgée du soda qu'on m'avait servit un peu plus tôt et reprit rapidement. « Je suis désolé Mark mais il faut que j'y aille, j'ai cours.. » C'était un gros risque que je prenais en faisait ça mais je n'avais pas envie, pas maintenant.. et surtout pas avec lui. Bizarrement, il ne me dit rien lorsque je me levai du siège pour récupérer mes affaires mais avant que je partes il attrapa ma main pour me retenir. « Oublie pas que tu me dois encore beaucoup.. » Je le regardais un instant sans rien dire puis hochais la tête « Oui.. oui je sais.. » Il finit par lâcher mon bras et je partis rapidement, quittant ce café pour rejoindre les bancs de la fac.

« Je peux savoir ou t'étais passé ma jolie ? » Je savais que je n'aurais pas du passer par là, je savais qu'il allait me tomber dessus j'en étais même persuader ! Pourquoi je n'avais pas pris le chemin que j'empruntais d'habitude, il était certes beaucoup plus long mais au moins il me permettait de ne pas croiser Mark. « Je suis passé chez toi mais tu n'y étais pas.. T'as déménager sans me prévenir ? » Il se rapprochait de plus en plus de moi et je n'arrivais plus à soutenir son regard. Je me sentais comme un animal qu'on prend au piège. Je voulais m'enfuir mais mon corps tout entier était paralysé par la peur, par l’appréhension. « Je.. je.. » Mon coeur battait à tout allure comme si il allait sortir de ma poitrine. Mark abattit son poing sur le mur derrière moi. Il était déjà si près que je pouvais sentir à la perfection son haleine horrible mélangeant odeur d'alcool et de cigarette « Tu sais, j’aime pas trop qu'on se fiche de moi alors t'as intérêt à te rependre.. T'as encore une dette envers moi je te rappel. » Je hochais la tête doucement et après qu'il ai posé ses lèvres contre ma joue il s'éloigna avec ce regard noir qu'il prenait quand il évoquait quelque chose de très sérieux, quelque chose qui l'agaçait. Je le regardais s'éloigner avant de fondre en larme, me laissant doucement glisser contre le mur jusqu'à ce que je me retrouve par terre. Avec l'arrivé de Sacha dans ma vie je pensais pouvoir m'en sortir. Elle m'offrait un toit et tout ce qui allait avec. Elle était gentille, douce et agréable avec moi alors que dans le fond elle ne me connaissait pas vraiment, elle m'avait juste retrouvé un soir entrain de faire le trottoir. Pourquoi était elle venu à mon secours ? Je n'en savais strictement rien mais j'avais accepté parce que ma vie n'étais qu'un désastre et parce que j'étais au bout du rouleau. Oui, avec l'intervention de cette femme je pensais pouvoir me sortir de ce milieu mais même pas trois mois avait passé et voila que Mark m'avait retrouvé et maintenant il me menaçait clairement. Totalement perdu et déboussolée, ce jour là je préféra rentrer à la maison plutôt que d'aller en cours, juste pour retrouver le confort dans cette demeure dans laquelle on m'avait si gentiment accueillit mais que je me voyais déjà obligé de quitter.