NOM & PRENOM(S) : sinead-jordan blueberry. SURNOM(S) : sinead, sid et beaucoup d'autres. ÂGE : vingt-deux ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : cinq juin 1989 en califorie. ORIGINE : pure américaine. ETUDES OU PROFESSION : chirurgie infantile. SITUATION : célibataire. GROUPE : give my your hand. AVATAR : dianna agron.

"Il y a des jours où je me sens brisée à l'intérieur, mais je ne veux pas l'admettre..Quelques fois j'ai juste envie de me cacher parce que c'est toi qui me manques."

une saison : l'été. un plat : tout ce qui est à base de pates. un animal : une panthère. une chanson : someone like you - Adèle. une couleur : le blanc. un livre : les disney. un film : remember me. un endroit : mon chez moi. un monstre : satan es-tu là ?. un oiseau : une colombe. un des cinq éléments : le feu. une fleur : une rose rouge. un fruit : les cerises.

une planète : la Terre. un sentiment : l'amour. un défaut : la jalousie. une qualité : la générosité. un art : la musique. une langue : l'italien. une fête : noël. une ville : la californie. un jeu : cache-cache. un chiffre : le 22 bien sur. un péché capital : la gourmandise. un parfum de glace : la vanille. un verbe : rêver.

Amis du jour, Bonjour. Amis du soir, Bonsoir. Amis du sexe, Durex. Je me présente, je m'appelle charlyne mais on me connait plutôt sous le nom de hersunshine. Je suis âgé(e) de 16 ans et demi ans et je viens de france. J'ai un emploi du temps très mitigé et je pourrais me connecter environ 4 jours sur sept. J'ai trouvé votre forum grâce à PRD et je le trouve vraiment parfait. Mon personnage est un personnage inventé. J'ai lu le règlement en entier et pour le prouver : follow me down pète à donf !. En m'inscrivant ici, je m'engage à être respectueux(se) envers les autres membres, à respecter le règlement et à être un minimum active. Pour finir, merci de m'avoir réservé miss Agron et longue vie au forum .

Toutes les histoires commencent par il était une fois. Mon histoire pourrait avoir le même début car après tout, même dans les contes de fées tout n’est pas fait que rose. Je ne suis pas Cendrillon, je n’ai pas hérité d’une affreuse belle-mère. Je ne suis pas Blanche-Neige non plus, je n’ai jamais vécu avec les sept nains. Ma mère ne m’a jamais enfermé dans une tour donc, on ne peut pas non plus me comparer à Raiponce. Non, moi, je suis juste Sinead-Jordan. Une jeune femme de vingt-deux ans qui a traversé de nombreuses épreuves comme tout le monde et qui ne s’est jamais apitoyée sur son sort. Pourquoi ? Parce que j’ai toujours eu ma famille derrière moi pour me soutenir. Je suis née le cinq juin mille neuf cents quatre-vingt neuf en Californie où j’ai passé mais dix premières années. Si j’ai vu le jour, c’est grâce à l’amour de mes parents. Ma mère, Melinda Sutton, une jolie blonde secrétaire médicale dans un hôpital et mon père, Matteo Blueberry, chirurgien en neurochirurgie. Pas la peine de vous expliquez comment ils se sont rencontrés, je pense que vous pouvez le deviner vous même. Bref, ma mère est tombée enceinte quand elle avait vingt-cinq ans, ce n’était pas voulu mais, elle a toujours tout fait pour le cacher, tout de même fière de mettre au monde un enfant, leur enfant. De nature très posés, mes parents ont toujours tout fait pour que je sois heureuse sans que j’en devine exigeante pour autant, même avant ma naissance… Bon quoique, s’ils auraient voulu mon bonheur avant que je pointe le bout de mon nez, ils m’auraient surement trouvé un plus joli prénom. C’est vrai, Sinead-Jordan, ça sort d’où ça ? C’est même pas compatible. Tout ça parce qu’ils avaient décidé du prénom avant de savoir le sexe de leur bébé. De toute façon, je ne vais pas leur en vouloir pour si peu, ce n’est qu’un prénom après tout et, tout le monde m’appelle Sinead alors, je ne vais pas commencer à me plaindre, ce n’est pas dans mes habitudes. « Sinead, quand est-ce que tu nous le présentes ? » Tient, en parlant du loup. Cette femme qui m’agresse alors que je viens seulement de me lever, c’est ma mère. J’ai toujours été très proche d’elle au point de n’avoir aucuns secrets pour elle. Le seul problème, c’est qu’elle a autant d’impatience que moi et veut toujours tout savoir avant tout le monde. Lui adressant un grand sourire, j’embrassai sa joue en lui répondant : « Maman, je viens de me réveiller, tu peux pas faire comme toutes les mères et me demander si j’ai bien dormi ? » Lui parler de tout d‘accord mais, de ma vie amoureuse, ce n‘était pas tellement mon truc. Alors oui, je lui avais dit que je sortais quelqu‘un depuis un bon bout de temps mais, j‘avais sept-huit ans, et, j‘avais besoin d’un minimum d’indépendance maintenant. Prenant une pomme je tournais les talons alors qu‘elle soupirait : « D’accord, est-ce que tu as bien dormi ? » Pour moi, c‘était un moyen de gagner du temps, je mis mes chaussures tout en l‘écoutant parler, pris mon sac et ensuite, pris la fuite comme je le faisais quand elle abordait ce sujet de conversation. « Très bien merci. Maintenant, je dois aller travailler. Je vous aime. » Courant jusqu‘à la porte d‘entrée, je claquais cette dernière derrière moi en entendant le début d‘une phrase faite par ma chère mère. « Mais attend… » Trop tard maman, je suis déjà partie.

En parlant d‘amour, je suis quasiment certaine que ça vous intéresse autant que ma mère. Bon d‘accord, comme c‘est vous, je veux bien vous avouer quelques trucs à propos de mon couple. Ça faisait un an et demi que je sortais avec Jayden à l‘époque. Je l‘avais connu par l‘intermédiaire d‘une amie et de ce temps, je peux vous dire qu‘on était totalement différent l‘un de l‘autre. Sans elle, je pense que ne se serait jamais connus, on était pas fait pour se rencontrer. C’était le genre mec populaire qui passait ses soirées à faire la fête et qui couchait avec la première venue. Moi, je me concentrais plus sur mes études, je croyais encore au grand amour et je dois bien l’avouer, j’étais naïve. Tellement naïve que je lui ai laissé une chance. Un an et demi. Il a tenu le coup et moi aussi. J’étais vraiment amoureuse de lui mais, c’était trop beau pour durer. « Qu’est-ce qu’il y a ? Et ne dit pas rien Sinead, je te connais par cœur ! » Mais voilà, on grandit, on change et, on arrive plus à faire semblant. J‘haussais les épaules face à sa question mais, vu le regard qu‘il me lançait, il n‘allait pas lâcher jusqu‘à obtenir ce qu‘il souhaitait. Après avoir longtemps hésitée, je finis par cracher le morceau. « On peut plus continuer comme ça. Je sais très bien que t’as couché avec elle et, t’es même pas foutu de l’admettre. » Oui, la jolie brune qui devait surement être capitaine des cheerleaders à l‘université, qui avait tout pour plaire et qui attirait tous les mecs dans ses filets. C’est vrai, je le comprenais après tout, à côté d’elle, j’étais rien mais, je lui faisais confiance avant ça. Je pensais vraiment qu’il avait changé et qu’il pouvait être fidèle. Je m’étais sans doute trompée… « Et si je te dis que j’avais trop bu, que c’était seulement un coup d’un soir. Je compte pas la revoir, c’est toi que j’aime bébé. » Prenant ma main dans la sienne, il attendait sans doute que je craque. J’étais jalouse, rancunière et, je pouvais pas passer au dessus de cela, c’était bien trop dur face à la situation. Je retirais ma main en soupirant, hochant la tête négativement et puis, les mots sortirent de ma bouche instinctivement. « Non Jay, je suis désolée mais, ça ne va pas être possible. Je… Je suis enceinte. Je sais que t’es pas prêt pour tout ça et, je peux pas que tu te sentes obligé de rester parce que j’attend ton gosse tu vois ce que je veux dire ? » Et merde ! Je l‘avais dit comme si c‘était naturel alors que c‘était pas mon intention. Je ne voulais pas lui annoncer comme ça en fait, c‘était pas vraiment le moment mais, c‘était trop tard maintenant. Je ne pouvais plus faire marche arrière. Me mordant la lèvre inférieure, je m’en voulais vraiment de lui avoir balancer le fait que j’étais enceinte. « T’es enceinte ? T’en es à combien de mois ? » Trois mois. Trois mois que je me demandais pourquoi mon caractère s’était intensifié, trois mois qu’une petite chose grandissait à l’intérieur de mon corps. Personne n’était au courant encore, je voulais qu’il soit le premier à le savoir après tout c’était lui le père et, il restait bouche bée comme si je venais de lui annoncer que… Bon ok, que j’étais enceinte. « Tu vois, t’as même pas remarqué que je mangeais pour dix, que je passais mes matinées aux toilettes et que j’avais pris du poids. On devrait arrêter, au moins pendant un moment. » Je m’étais énervée parce que j’étais énervée contre moi-même et, à cet instant, je m‘étais levée et étais partie sans me retourner, les larmes aux yeux. Une preuve qu’il n’était pas prêt ? Il n’essaya même pas de m’en empêcher. Une preuve que j’étais pas prête à le quitter ? Je souffrais. J’avais le cœur brisé et pourtant, c’est moi qui avait mit un terme à cette relation. Et voilà comment je me suis retrouvée enceinte et célibataire.

« Bonjour mon petit patient préféré ! Comment tu vas aujourd’hui ? » Comme mes parents, j’ai choisi l’hôpital comme lieu de travail. Après tout, j’ai grandi dans cet endroit pour moi, c’est logique d’y rester. C’est comme une seconde maison, une grande famille, je m‘y sens vraiment chez moi. Après avoir arrêté mes études, je suis rentrée assez facilement en tant qu’interne à l’hôpital de Glasgow grâce à des connaissances et aujourd‘hui, je pratique la chirurgie infantile. J‘adore mon métier même si ce n‘est pas tous les jours faciles. Je me bas pour ces enfants, je les considère comme les miens et, quand j‘en perd un, c‘est comme la fin du monde. J‘en donne pas des nuits, je me sens responsable d‘eux. Mais il ne faut pas voir que le côté négatif de la chose. Quand tu sauves une vie c’est… Magnifique et, c’est pour cela que j’aime ce que je fais. « Je vais très bien. Le docteur a dit que tu vas m’opérer aujourd’hui et qu’après, j’aurais plus mal du tout. » Et puis, les enfants, c’est vraiment magique, toujours plein d‘espoir, ils ne baissent jamais les bras. En fait, ils sont beaucoup plus forts que nous, les adultes. Leur redonner le sourire, c’est-ce que je fais à longueur de temps et, c’est beaucoup plus qu’un métier, c’est ma vie, ma passion, je n‘échangerais cela pour rien au monde. M‘asseyant sur le bord du lit de mon patient, je lui parlais tranquillement pour ne pas l‘effrayer avec un langue médical incompréhensible. « Le docteur a raison. T’auras plus mal du tout et monsieur nounours non plus. » Monsieur nounours ? C‘est le petit ours en peluche qui a le bras dans le plaque et un pansement sur le genou. Les enfants aiment se voir à travers quelqu’un et, c’est pour cela qu’il préfère se montrer fort et faire parler les doudous. Je trouve ça tellement mignons et courageux de leur part d‘oser en demander plus. Il approcha son ours de son oreille et, le reposa sur le lit en m’informant de la question de ce dernier : « Est-ce qu’il va avoir mal ? » Je lui souriais d’un sourire rassurant en hochant la tête : « Non, c’est un petit bobo de rien du tout, il ne va rien sentir je te le promet. Tu veux que je t’explique à toi et monsieur nounours ? » Je m’installai en tailleurs en face de lui pour commencer mes explications suite à sa demande : « Je veux bien s‘il te plait. »

Deux ans. C‘est l‘âge d‘Inès, ma fille et, celle de Jayden bien sur. D‘ailleurs en parlant de lui, malgré le fait qu‘on était séparé, il a toujours été présent pour elle et moi quand on en avait besoin. Que ça soit avant comme après l‘accouchement, il voulait vraiment assumer son rôle de père et, c‘est quelque chose qui m‘a beaucoup aidé je dois l‘avouer. J‘ai toujours admiré le fait qu‘il ne prenne pas la fuite face à la situation dans laquelle j‘étais, la plupart des mecs l’auraient fait. Lui, il est resté et, il n’est peut-être pas prêt à s’engager dans une relation sérieuse longue durée mais, il fait un très bon père quand il veut. Suite à mon travail assez prenant et au fait qu’il veuille avoir la garde sa fille autant que moi, on s’est arrangés comme on le pouvait pour la voir grandir et ne pas la laisser H24 chez une nourrice. Une semaine chez maman, une semaine chez papa, rien de plus normale. Et, comme on est resté en bon terme, on s’arrange toujours quand l’un à quelque chose de prévu ou autre bien que ça ne soit pas tous les jours simples. Le seul problème, c’est-ce que je suis sans doute trop protectrice envers ma fille et, quand je reçois un appel en pleine nuit de Jayden m‘informant qu‘elle est malade, je me lève directement et fais au plus vite pour me rendre chez lui. Tambourinant à la porte comme une folle, j‘attendais qu‘il ouvre avec impatience, ce qu‘il finit par faire. « Qu’est-ce qu’il se passe ? Est-ce qu’elle va bien ? » C‘est logique de s‘inquiétait pour son enfant et puis, je m’y connais un peu rayon maladie alors, je m’imagine toujours le pire. Mais, quand je le vis avec la petite dans les bras en train de crier : « Je sais pas trop, elle pleure tout le temps. J’ai tout essayé mais elle veut pas s’endormir. » J’ai cru que j’allais l’étrangler, j‘entrais dans la maison énervée, refermant la porte derrière moi. Moi qui croyait qu‘elle était malade ou qu‘il lui était arrivé quelque chose… Non, seulement parce que monsieur en a marre de l‘entendre pleurer. « Vient voir maman ma chérie. » Soupirant, je lui pris notre fille des bras et commençais à la bercer en faisant les quatre cents pas dans la salon. Chuchotant, car Inès commençait à s’endormir petit à petit dans mes bras, je m’énervais intérieurement : « Jay, tu peux pas m’appeler en pleine nuit parce qu’elle pleure et que tu ne sais pas ce qu’elle a ! Je bosse demain, il est trois heures du mat. » Sachant que je lève à six heures, que j’habite à une demi-heure d’ici et que, je dois être totalement attentive suite à ce que je fais, j‘allais vraiment péter un câble. Si je n‘avais pas le bébé dans les bras, je pense que je l‘aurais déjà tué. M’adressant un grand sourire, fier de lui il me demanda en reprenant la petite pour l’amener dans la chambre : « Ben, t’as qu’à rester ici cette nuit… » Oui, c’est tout ce qu’il attendait après tout. D’accord, j’étais naïve mais, peut-être pas à ce point non plus ! Après avoir réfléchit quelques secondes, je lui répondis : « Tu prends le canapé ! » Ce qu’il fit bien entendu. Et c’est comme ça à chaque fois qu’elle a le moindre petit truc !