NOM & PRENOM(S) : Adelina Lily Evans SURNOM(S) :Lina elle l'a choisit et tout le monde l'appelle ainsi maintenant. Un prénom court ça reste en mémoire et elle espère bien que les gens s'en rappelleront quand elle décrochera ses premiers rôles.ÂGE : 24 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le jeudi neuf avril mille neuf cent quatre-vingt sept à Glasgow en Ecosse. ORIGINE : écossaise ETUDES OU PROFESSION : Elle fait des études de théâtre pour devenir une vraie comédienne hollywoodienne par la suite.SITUATION : célibataire mais faut pas croire qu'elle chercher à se caser avec le premier venu, non madame aime bien trop sa vie sans contrainte et sans jule permanent. GROUPE : i take care of myself . AVATAR : Nina Dobrev

La liberté n'est qu'un mot ; l'évasion, une chimère. On est son propre geôlier tant qu'on a un coeur. [Claire France]

Amis du jour, Bonjour. Amis du soir, Bonsoir. Amis du sexe, Durex. Je me présente, je m'appelle Mélanie mais on me connait plutôt sous le nom de Lolita Azarelle ou Lilou. Je suis âgée de 20 ans et je viens de France. J'ai un emploi du temps très mitigé et je pourrais me connecter environ 6 à 7 jours sur sept. J'ai trouvé votre forum grâce bazzart et je le trouve que c'est une pure merveille, contexte et desig, css j'adore tout. Mon personnage est un poste-vacant. J'ai lu le règlement en entier et pour le prouver : : OK BY ANA ♥. En m'inscrivant ici, je m'engage à être respectueuse envers les autres membres, à respecter le règlement et à être un minimum active. Pour finir, je vous aime xd.

8 mai 1998
Assise sur mon lit, des écouteurs aux oreilles je regardais les flocons de neige tomber derrière la fenêtre pleine de buée. A chaque fois que je tournais une page du livre j'avais l'impression que le bruit était extrême tant le silence de mort qui régnait autour de moi était assourdissant. Il était déjà trois heures du matin mais impossible de trouver le sommeil, mes yeux n'arrivaient pas à se fermer, comme s'ils pouvaient sortir de mon contrôle. Ecoutant du Muse pour me détendre, rien n'y faisait. La pièce était baignée de noire, à tel point que je n'arrivais pas à distinguer mes pieds de là où j'étais. Je savais que j'allais encore passer une nuit blanche, et que le lendemain, j'allais être crevée mais je ne pouvais rien y faire contre. Mes yeux ne voulaient se défaire de cette fenêtre scellée par mon père. La nuit derrnière pourtant après avoir forcé dessus durant un long moment, j'avais eu l'impression que le verroue avait un peu bougé mais par peur de casser la vitre par mégarde et que mon père se réveille j'avais laissé tomber. En y repenssant,l'espoir et l'envie de partir redevenait aussi forte si ce n'est plus, mais la fatigue à cause du manque de sommeil devenait aussi intense. Je réalisais qu'il fallait pourtant que j'essai ce soir, cette nuit, tout de suite sans plus tarder, je ne pouvais plus vivre ici prisonnière de cete maison perdue et de mon père. Mon père que j'aimais tellement mais qui était devenu fou, fou de croire que les autres pouvaient se contrôler, fou à cause de la mort de ma mère. En repenssant à elle des larmes commencèrent à rouler sur mes joues alors que je me levais et me dirigeais en catimini vers la fenêtre. Le tournevis bricolé que j'avais caché sous mon tapis était toujours à sa place, à m'attendre, à attendre de jouer son rôle. Les vises plantées sur les bords en bois de la fênetre me donnais l'impression d'y avoir été soudées tellement elles étaient durent. Je forçais pourtant ànouveau dans l'espoir qu'une de ces maudite vises tourne enfin. Après quelque minutes d'énervement un petit clic se fit entendre et je compris que mon heure de liberté aller enfin arriver, la vise tourna alors sans difficulté aucune jusqu'à tomber par terre. Je poussais un soupir de soulagmenet mêlé au stress. Si mon père venait à m'entendre maintenant, cela signifiait condamné à vivre encore plus prisonière que qu'aujourd'hui sans aucun espoir de sortie. Alors avide de bonheur et d'adrénaline, je m'attaquais encore plus sauvagement à la seconde vice qui céda à son tour. Arrivé à la quatrième et ultime vice qui commençait elle aussi à bouger, je regardais par la fenêtre surprise de voir aussi bien le bord de la vice, je vis alors avec stupeur que quelques rayons lumineux commencés à apparaitre derrière la forêt alentour. Je regardais et me rendis alors compte que javais perdu beaucup plus de temps que je ne l'avais imaginé, il était déjà cinq heures dix du matin, mon père allait se réveiller d'ici très peu de temps. Paniquée je réalisais qu'il n'était plus temps de reculer, je me concentrais alors de nouveau sur la vise et la débloquée après un ultime effort. Je fonçais sous mon lit où j'y avais mis mon sac avec toutes mes affaires importantes qui y étaient déjà prêtes. Je l'ouvrais et y mettais en plus un paquet de chips, remplissais une gourde et prenais en vitesse un ou deux cadres que je n'avais pas pu prendre avant sans quoi mon père s'en serait rendu compte. Je refermais le sac en vitesse, et attrapais au passage la médaille que ma mère m'avait donné avant le drame. La boule au ventre, je réalisais que c'était la fin d'un cauchemar, mais aussi que je n'allais certainement plus revoir mon père avant très longhtemps, pourtant il ne me fallu pas plus d'une minute pour trancher et partir définitivement. En avançant vers la fenêtre j'entendis des bruits de pas venant d'en dessous, il étant vraiment temps de filer, j'ouvrais tout en délicatesse la fenêtre en bois qui grinça lgèrement, et balançais mon sac dehors, je m'élançais juste derrire et retombais deux mètres plus bas sans trop de bobos dans l'herbe fraiche. Le vent sur mes joues pendant quej'explosais les record de rapidté en vitesse me faisait le brut grand bien. J'avais complètement oublié la fatigue qui m'accablait, je courais à ma liberté, enfin.

6 ans plus tard.
Il y avait comme un air de fête ce jour-là, assise à côté de tante Delpline cette femme que je considérais aujourd'hui comme ma seule famille, je m'ausais comme une folle, le spectacle allait bientot commencer, une pièce animée par d'anciens élèves de l'école. Les lumière commençèrent à s'éteindre les une après les autres tout autour de nous, jusqu'à ce que le noir soit complêt. Tante Delphine me glissa alors à l'oreille. "ça vas enfin commencer, j'ai hâte, j'espère que toit aussi tu vas aimer cette pièce." Il y avait tant de gentillesse et d'amour dans sa voix que parfois j'avais l'impression que cétait m'a mère qui me parlait à travers elle. Les rideaux se baissèrent après deux heures de spectacle, à la fin cela m'avais tellement plût que je me lançais enfin pour prendre des cours de théâtre. Mon ambition après ce jour n'allait que grndir jusqu'à pouvoir toucher les étoiles et dire adieu aux souvenir douloureux d'une jeunesse faite de solitude et de tristesse.