NOM & PRENOM(S) : Eden Alexane Haristoy SURNOM(S) : Alex ÂGE : 19 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 14 septembre, Canterbury, Angleterre. ORIGINE : Françaises ETUDES OU PROFESSION : Peintre en bâtiments SITUATION : célibataire GROUPE : i don't really know AVATAR : Selena Gomez

Tout a un prix, même les gestes humanitaires.

Amis du jour, Bonjour. Amis du soir, Bonsoir. Amis du sexe, Durex. Je me présente, je m'appelle Ophélie mais on me connait plutôt sous le nom de Duds. Je suis âgé(e) de 16 ans ans et je viens de France. J'ai un emploi du temps très libre et je pourrais me connecter environ cinq jours sur sept. J'ai trouvé votre forum grâce à PRD et je le trouve très beau. Mon personnage est un personnage inventé. J'ai lu le règlement en entier et pour le prouver : OK BY ELENA. En m'inscrivant ici, je m'engage à être respectueux(se) envers les autres membres, à respecter le règlement et à être un minimum actif(ve). Pour finir, j'adore les smileys.

Je titubais, c'était beaucoup trop pour mes jambes. Lui s'en fichait, il était déjà bien devant ! Ces barbares nous pourchassait depuis une bonne heure. Je trébuche et mon corps touche le sol, j'étais abandonnée par mes forces. Il fit demi-tour, je pensais qu'il me détestait et il risquait sa peau pour mon petit cul. « Grimpe, dépêche-toi. » Je me mets sur son dos et il reprit la course, les hommes avec des armes dans leurs mains gagnaient du temps et la distance entre eux et nous se réduisait à vue d’œil. En sortant de cette forêt interminable et gagnant enfin une rue où la vie battait son plein. Je repère une étroite ruelle. « Là, cachons-nous ! » « Ils vont nous repérer ! » « C'est notre seule chance, dans la rue il n'y a aucun arbre pour arrêter leur tirs ! » Il s'engouffra alors dans ce qui représentait notre dernier espoir. Une minute à peine s'était écoulée quand nous vîmes les hommes passer en courant, ils ne nous ont pas vu. « écoute, dans une petite ville comme Canterberry, ils nous retrouveront facilement. Il faut qu'on parte ! » « On ? Tu te fiches de moi ? Tu me dis que tu me hais et ensuite tu veux partir je ne sais où avec moi ? » « On n'a pas le choix, tu préfères mourir peut-être ? Allons chercher nos affaires et en route ! » « En route pour où ? » « L’Écosse, c'est assez loin pour qu'ils ne nous cherchent pas là-bas. » « Dans quelle ville ? » « Choisit. » « Tu es conscient qu'on va passer de longues heures de route ensemble, dans la même voiture ? » « Oui, alors ne commence pas à m'exaspérer. » C'est lui qui commençait à m'énerver. Nous avons été récupéré nos affaires, j'étais placée dans une famille d'accueil qui n'étais pas très heureuse de ma présence, alors mon départ ne m'a rien fait, j'avais très peu d'affaires et aucun attachement particulier. Je partais avec l'homme que j'aimais depuis ma plus tendre enfance. Je l'ai connu à l'orphelinat, nous avons été dans la même école, mais quand il a été placé dans une famille, tout a changé. Il avait changé de camps, devenant le petit rebelle de la classe et séchant les cours. Quand il me croisait, il me bousculait ou alors riait de moi. Ce soir-là, j'avais pris mon courage à deux mains et l'avait suivi jusque dans les bois. Pendant qu'on s'expliquait assez bruyamment, on a entendu un coup de feu. Il m'a ordonné de courir, ce que j'ai fait. Il n'était pas autant effrayé que je l'étais, c'est là que j'ai compris que ces hommes ne lui étaient pas inconnus. « Petit bouffon ! Viens ici avec ta petite amie qu'on lui tranche la gorge ! J'ai vu son visage et j'irais l'égorgée pendant son sommeil ! » ce fut la seule phrase que j'entendis d'eux. Sur la route vers une ville d’Écosse que j'avais choisi, Glasgow, nous avons énormément parlé. Il n'a pas voulu me dire qui était ces barbares et pourquoi ils voulaient sa peau -et la mienne désormais- il s'est excusé de son comportement. Je voyais bien qu'il se sentait coupable de m'avoir mise dans cette situation, mais moi je n'arrivais pas à être en colère contre lui. L'amour que je lui porte est tellement présent que c'est à moi que j'en veux, avoir été idiote de le suivre et le mettre dans l'embarras. Maintenant il devait me supporter et me protéger, en tout cas, c'est ce qu'il était déterminé à faire. « Non, mais tu rêves là, j’écoute pas du Gleu je ne sais pas quoi moi ! » « Pour me faire plaisir ? J'adore leurs reprises ! » « Dans mon cas c'est tout le contraire, alors tu remets ma musique. » « Déjà, ce que t'écoutes c'est Has been ! Alors, maintenant on va mettre ce que j'ai envie d'écouter, parce que depuis qu'on est partis on a fait que ce que TOI tu voulais. » « T'étais pas crevée peut-être ? » « Pas assez pour dormir dans une voiture ! J'aurais un mal de dos horrible tout de long de la route. » « Je ne vois pas où est le problème ! » « On était garés sur le parking d'un HÔTEL ! » « On n'a pas d'argent à jeter par la fenêtre. » « C'était un hôtel aux prix largement abordable par une famille sur-endettée ! » « Fin de la discutions, mange. » « C'est pas des chips que je veux, c'est de la VRAIE nourriture ! » « Eh bien, Princesse, désolé mais c'est non. Les restaurants c'est cher. » « J'ai parlé de restaurants ? » « T'as un micro-ondes pour chauffer la bouffe ? » « Tu me tapes sur le système ! T'es au courant qu'il y a des salades ou des trucs à manger FROID ? » le même refrain tout le long de la route, c'est très agaçant. Je priais pour qu'on arrive bientôt -le plus vite possible- .

Je n'avais jamais été en boîte avant, je sais ce que c'était évidemment, mais on ne m'avait encore jamais proposé d'y aller. Quand il a lancé l'idée, j'étais partante, puis maintenant je suis un peu effrayée. Ce que j'avais entendu des boîtes ne m'engageais pas à y entrer, apparemment, il y avait souvent de la bagarre et des gens bourrés qui vomissent -d'ailleurs, si on vomit, on est foutu dehors par les vigiles, il me semble- . Autre inquiétude, je ne savais pas quoi mettre ! Nous étions arrivés ici il y a un an et on avait trouvé un petit appartement à louer pas très cher. Nous travaillons tous les deux et nos revenus mit en commun nous permettent de vivre assez bien. Mon amour pour lui était toujours là et il ne voulait pas partir. Rien ne c'était passé entre nous, bien qu'un petit rapprochement avait fait son effet et nous étions très complices. J'ai l'impression qu'il ne ressent rien pour moi, mais parfois je le surprends à me regarder de haut en bas et sourire en coin, alors je me demande si je lui fais de l'effet ou s'il est juste pervers. Bien que je sois persuadée qu'il n'est pas pervers, puisqu'il aurait déjà tenté quelque chose depuis le temps. Mercredi, il avait proposé qu'on aille en boîte, j'avais accepté sans réfléchir. Maintenant, j'attends ma meilleure amie, tout en essayant de me décider pour ma tenue, je vais éviter les shorts ou jupes, j'opte alors pour un pantalon en cuir et un maillot à fines bretelles. On m'a prévenu qu'il faisait très chaud à l'intérieur. Nous sommes cinq à nous y rendre, moi et ma meilleure amie. Ainsi que mon beau prince et deux de ses copains, dont un qui va faire le Sam. On sonne à la porte, j'entends mon colocataire sexy ouvrir. Quelques secondes plus tard, des pas dans l'escalier et une furie qui ouvre la porte. J'ai juste eu le temps de me maquiller et mettre quelque bijoux pour donner un plus à la tenue qu'elle s'agite. « T'es trop bonne poupée ! » « Tu sais que tu devrais penser à utiliser des mots moins vulgaires? » « C'est toi qui me dis ça ? Ne fais pas ta sainte ! » « Je lui ai toujours dit, elle ne veut jamais m'écouter. » « Toi la ferme. » « Pas de ça ce soir les cocos ! On va s'éclateeeer ! Tout le monde est prêt ? En route ! » Après quarante-cinq minutes de route, notre Sam arrête enfin la voiture sur le parking de la boîte, je n'oublie pas ma carte d'identité et laisse mon portable dans la voiture, les cadavres des bières que nous avions pris pour la route teintent à nos pieds, nous les laissons là. Nous marchons en direction de l'entrée, nous entrons et donnons nos cartes d'identités au vigile pour qu'il vérifie nos âges, quand cela est fait, nous avançons pour payer nos places. L'entrée n'est pas donnée, enfin si, mais je trouve ça trop pour aller danser, surtout qu'on m'a dit que les consommations étaient assez cher. Le vigile me met le tampon et fait un trou dans mon entrée, au moment de me la rendre, je tends la main et il tourne l'entrée, pour que je ne puisse pas l'attraper. « Je t'ai feinté hein ! » me dit-il avec un sourire en coin. J'avance donc en rigolant, la soirée promet d'être comique. « T'as déjà fait mouche. » « t'es jaloux. » « Non, du tout. Par-contre, si t'as un problème, n'hésite pas à venir me chercher, ok ? » « Oui, chef. » Il se penche et me donne un léger baiser sur les lèvres. Il se retourne et file déjà avant que je n'ai pu réaliser ce qu'il vient de se passer. Était-ce parce qu'il avait bu une bière dans la voiture ? Du coin de l’œil je vois ma meilleure amie qui a l'air prêt à exploser, dans le mauvais sens du terme.