NOM & PRENOM(S) : Elle porte le nom de sa mère comme elle n'a jamais connue son père qui est Flanagan. Son premier prénom Naveen est le prénom que sa mère voulait donner un jour à sa fille et son deuxième prénom Inaïs est le prénom de sa grand-mère. SURNOM(S) : Son principal surnom est Even qui lui a été donné par sa mère lorsqu'elle était âgée de cinq ans. Elle a également Nav cependant elle déteste celui-ci. ÂGE : La demoiselle est actuellement âgée de 21 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Naveen est née le 15 janvier 1990 à Glasgow en Écosse. ORIGINE : C'est une vraie écossaise. ETUDES OU PROFESSION : Étudiante en criminologie en plus d'être serveuse. SITUATION : En couple, enfin elle croit. GROUPE : I need your help. AVATAR : Phoebe Tonkin.

Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien.

Amis du jour, Bonjour. Amis du soir, Bonsoir. Amis du sexe, Durex. Je me présente, je m'appelle Sally mais on me connait plutôt sous le nom de mockingbird. Je suis âgé(e) de 17 ans et je viens de Québec. J'ai un emploi du temps très mitigé et je pourrais me connecter environ cinq jours sur sept. J'ai trouvé votre forum grâce au train de Bazzart et je le trouve très beau. Mon personnage est un personnage inventé. J'ai lu le règlement en entier et pour le prouver : OK BY ELENA. En m'inscrivant ici, je m'engage à être respectueux(se) envers les autres membres, à respecter le règlement et à être un minimum actif(ve). Pour finir, vous allez voir, je suis adorable.

« Je n'ai pas besoin de ton aide maman, je m'en sors très bien » cria la brunette au teint bronzé à sa mère qui restait tranquillement assise, les deux mains sur les cuisses. Et je restais là, sagement caché dans les escaliers la regarder faire les cent pas dans notre salon. Cela ne datait pas d'hier qu'elle avait de la difficulté à contenir sa colère, elle avait toujours été comme ça même durant son enfance. « Tu veux bien te calmer ma chérie, tu vas réveiller Naveen » dit-elle en se levant pour ensuite s'approcher de sa fille qui se tenait droite comme un piquet, bras croisés sur la poitrine. Sa mère déposa ses mains sur ses joues et lui souri d'un bref sourire - « Pense à l'avenir de Naveen, elle ne peut pas rester ici. » déclara-t-elle après un petit moment de silence. C’est simple comme bonjour, ma grand-mère désire que j’aille vivre chez elle enfin que j’ai un meilleur avenir et enfin que je ne devienne pas une rebelle comme le frère de ma mère qui aujourd’hui est en prison. Je le sais parce qu’elle n’arrête pas de lui faire la proposition depuis deux mois déjà et à chaque fois, maman refuse parce qu’elle m’aime. Je le sais parce que chaque fois qu’elle vient me border, elle me dit que je suis son petit ange, qu’elle ferait tout pour moi et je la crois. Alors forcément, elle serait stupide de m’abandonner parce qu’elle laisserait aller son petit ange. « Je n'ai pas besoin de ton aide maman, je m'en sors très bien » répéta-t-elle en se dégageant des mains de sa mère et lui lancer un regard froid. Grand-mère haussa les épaules avant de prendre son manteau, sa sacoche et de partir et comme à chaque fois, elle lança une menace à ma mère. Toujours la même.

Je contournais le comptoir et retournais auprès de la table de l’homme qui était assis et buvait tranquillement son café du soir. « Je vous en sers un nouveau ? » posais-je à celui-ci en soulevant la cafetière légèrement en remarquant que je venais de le sortir de ces pensées. C’était toujours ainsi, chaque soir c’était pareil. Il venait prendre place à la même banquette, regardait par la fenêtre et buvait deux cafés pour ensuite payé et partir chez lui. « Oui » répondit-il sans aucun merci, sourire ou hochement de tête. Avec le temps, je m’étais habituée à son côté froid. Je versais une nouvelle fois le café dans sa tasse et retournais à l’endroit où j’étais tout à l’heure. Au moment où il entrait, je feuilletais un magazine de potins, ce genre de chose ne m’intéressait pas vraiment seulement en cette nuit merdique, il n’y avait rien d’autres à faire alors je lisais ce magazine. Il passa devant moi et alla prendre place sur une banquette avec deux de ces amis. Ils avaient tous des gouttes qui leur coulaient dessus signe qu’il venait de dehors, dehors était une vraie tempête. Je fermais le magazine et marcha jusqu’à la table où était Doug. « Je vous sers quelque chose ? » demandais-je en tapotant mon crayon sur le bloc-notes que je tenais entre les deux mains. Un ami à lui rigola légèrement, assez pour me faire bouillir à l’intérieur, il se foutait carrément de ma gueule comme toujours en quelque sorte. « Un hamburger-frites avec un coca » dit-il en souriant comme un connard… Son sourire qu’il fessait toujours. Je soupirais légèrement pour ne pas me faire entendre par ces deux connards d’amis et notais ce qu’il demandait sur le papier. « Et vous ? » reposais-je en me tournant vers eux, insignifiante. « Rien du tout ma jolie » Je ne répondis pas à sa réplique et tournais les talons en allant déposer la commande au cuisiner. Vingt minutes plus tard, j’allais porter l’assiette à Doug. Le monsieur au café était parti depuis dix minutes et Doug terminait son assiette et déposais de l’argent sur la table en prenant sa veste en cuir et en partant, avec sa démarche de bad-boy, dehors suivi de ces deux amis idiots. J’allais chercher l’assiette et ramassais l’argent et alla déposer l’argent dans la caisse ainsi que l’assiette en arrière. Je terminais de travailler à ce moment alors j’allais porter l’argent de la soirée dans le coffre-fort du restaurant et lançais mon tablier en arrière pour ensuite troquer mon uniforme à ma paire de jean bleu, mon chandail mauve ainsi que ma veste noir. J’enfilais mes converses et entourait mon corps de mon sac en mettant mon capuchon sur ma tête et courais jusqu’à ma voiture. Je tentais désespérément d’ouvrir ma portière lorsqu’une main se déposa sur mon épaule au même moment je criais de frayeur et frappais mon ‘’attaquant dans le ventre’’ avec mon coude. « Bordel ! » Automatiquement, je reconnu la voix de Doug, que fessait-il derrière moi ? « Mais ? Mais t’es fou ou quoi ? » Il respirait avec difficulté et j’étais trempée alors je l’aidais à embarquer dans ma voiture et ensuite je pris place à mon tour. « Je tenais à m’excuser pour tout à l’heure » commença-t-il en respirant mieux et en regardant vers le ciel, enfin mon plafond de voiture. « Non ça va ! Bon, aller je dois y aller, bye Doug » dis-je en essayant tant du mieux que je le pouvais, une discussion avec lui. « Je peux te dire quelque chose avant ? » Je soupirais, deuxième soupir en une soirée, un record et hochait la tête dans l’attente de ce qu’il voulait me dire. Il approcha son visage du mien et m’embrassa. « Je suis amoureux de toi » Je l’aimais aussi, alors je croyais que c’était comme dans un conte de fées, oh non ! Parce que j’ai l’impression qu’aujourd’hui cette relation ne va que dans un sens.